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Les étranges Sarcophages des Chachapoya

L'étrange découverte des Sarcophages des Chachapoya

Les étranges Sarcophages des Chachapoya

Au moment de l’arrivée des Espagnols au Pérou au début du 16ème siècle, les Chachapoya avaient déjà été annexés au Grand Empire Inca. Bien qu’ils aient résisté farouchement les guerriers des nuages ​, nom sous lequel ils étaient connus, avaient été contraints d’adopter les coutumes et la culture de leurs conquérants. Ils ont laissé un héritage : les étranges sarcophages dans lesquels ils enterraient leurs morts.

à une cinquantaine de kilomètres de la ville de Chachapoyas se trouve la vallée Utcubamba. Un tremblement de terre y a eu lieu en 1928. tandis que les collines tremblaient, quelque chose d’étrange est tombé du haut des falaises qui bordent les gorges de la rivière. C’était un homme d’argile étrange de plus de 2 mètres, la mâchoire carrée, à la manière des Moai de l’île de Pâques .

Les archéologues savaient que c’était un purunmachu – le nom donné aux sarcophages dans lesquels le Chachapoya plaçait leurs morts. C’était une découverte très rare – la plupart ayant été partiellement ou totalement détruits par des pillards.

Il ne fallut pas longtemps avant qu’ils aient escaladé le ravin pour découvrir sept autres de ces objets extraordinaires. Les parents des morts avaient pris soin de placer ces purunmachus dans un endroit aussi inaccessible. Les tests au Carbone 14 estiment la date de fabrication de ces purunmachus vers 1470.

En dépit de leur cachette, le temps avait fait son travail d’érosion. Pourtant, leur manteau original de peinture blanche était encore visible, de même que d’autres détails. L’ocre jaune et deux pigments rouges avaient été utilisés sur  des détails du corps des purunmachus. Les plumes sur les tuniques étaient encore visibles comme l’étaient les organes qui indiquent que les corps à l’intérieur étaient très susceptibles d’être de sexe masculin. Une touche macabre inhabituelle a été rajoutée. Au-dessus des têtes des purunmachus, des crânes humains avaient été placés.

D’autres purunmachus ont également été découverts dans les environs de Aya-Chaqui et des différences entre les deux types de sarcophages apparaissent, même si elles appartiennent à la même culture. Il semble probable que cette pratique était répandue pendant peut-être des centaines d’années.

On a une idée sur la façon dont ils ont été construits. D’abord un muret était construit autour d’un corps – ou il était tout simplement placé sur une corniche. Puis, autour de cet ensemble de restes humains, une paroi mince était construite pour couvrir le corps. Il était alors enduit d’un mélange épais de boue et de paille. Une fois sec, il était d’abord peint en blanc et décoré avec des détails tels que les caractéristiques faciales, des colliers et des parties du corps.

Les Chachapoya ont disparu de la surface de la Terre environ un siècle après l’arrivée des Espagnols. Une fois que leur culture avait disparu les sarcophages n’étaient plus protégés. La grande majorité a été détruite par des profanateurs de sépultures à la recherche de richesses anciennes.  

Les étranges Sarcophages des Chachapoya (1)

Les étranges Sarcophages des Chachapoya (3)

Les étranges Sarcophages des Chachapoya (4)

Les étranges Sarcophages des Chachapoya (5)

Les étranges Sarcophages des Chachapoya (6)

Les étranges Sarcophages des Chachapoya (7)

Les étranges Sarcophages des Chachapoya (8)

Les étranges Sarcophages des Chachapoya (10)

Les étranges Sarcophages des Chachapoya (11)  

Les étranges Sarcophages des Chachapoya (12)

Les étranges Sarcophages des Chachapoya (13)

Les étranges Sarcophages des Chachapoya (14)

Les étranges Sarcophages des Chachapoya (15)

Les étranges Sarcophages des Chachapoya (18)

 (source : chambre237


ARCHÉOLOGIE INSOLITE

 
 
 
  •  366°, les lignes d'Or
  • L'histoire de la redécouverte de la géométrie à 366°, aurait dû donner lieu à une formidable recrudescence d'intérêt et d'études scientifiques à l'égard du phénomène mégalithique...
  •  Ancienne civilisation de Fontainebleau 
  • Qui a fait les étranges sculptures découvertes sur les murs des grottes les plus étroites ? Qui étaient les êtres mystérieux aux trois doigts représentés sur des rochers anciens dans la forêt ?
  •   Les étranges Sarcophages des Chachapoya 
  • Les Chachapoya ont disparu de la surface de la Terre environ un siècle après l’arrivée des Espagnols. Une fois que leur culture avait disparu les sarcophages n’étaient plus protégés..

 


Ancienne civilisation de Fontainebleau

Les traces d'une mystérieuse civilisation perdue de l’Europe

 dans la forêt de Fontainebleau

GRAVURES FONTAINEBLEAU

Une civilisation ancienne et inconnue habitait-elle autrefois la forêt française
 de Fontainebleau ?
 
Qui a fait les étranges sculptures découvertes sur les murs des grottes les plus étroites ?

Qui étaient les êtres mystérieux aux trois doigts représentés 

sur des rochers anciens dans la forêt ?

GRAVURES FONTAINEBLEAU

Qui sont les auteurs de l’écriture mystérieuse et non déchiffrée trouvée dans des tombes anciennes au fin fond de la forêt ?

La forêt de Fontainebleau est située à environ 60 km au sud-est de Paris. D’une superficie de 280 km², c’est l’une des plus grandes et des plus belles forêts de France.

Aujourd’hui, les paysages magnifiques et fantastiques de la forêt sont la raison pour laquelle cet endroit est devenu une attraction touristique populaire. Le week-end, la forêt de Fontainebleau est visitée par des milliers de personnes qui veulent fuir la capitale, se promener et profiter de la beauté de la nature.

Cependant, dans les temps anciens, la situation était différente.

 La forêt a une longue histoire.

forêt de Fontainebleau

Dans la forêt de Fontainebleau, il y a beaucoup de très gros blocs rocheux.

Les origines connues de la forêt de Fontainebleau remontent à l’an 1000 environ. Pendant des milliers d’années, cette forêt ancienne a été plus ou moins isolée du monde extérieur. Peu de gens, à part quelques criminels, ont eu le courage d’entrer dans l’ancienne “forêt de Bière”, l’ancien nom de la forêt. Même les criminels hésitaient à pénétrer dans cette immense forêt, mais ses grottes sombres et étroites et ses grands arbres centenaires offraient une cachette parfaite pour les prisonniers évadés et les hors-la-loi.

Des légendes anciennes disent que la forêt de Fontainebleau était hantée

Selon la légende, la forêt était hantée par un groupe d’êtres mystérieux.

forêt de Fontainebleau

Les gens croyaient que le Grand Chasseur ou le Chasseur Noir gardaient le Parc et défiaient tous ceux qui essayaient de passer par là. Ils étaient toujours accompagnés d’une meute de chiens vicieux. Ces légendes effrayaient les visiteurs. Il en résulta que la faune et la flore et toute la forêt restaient pour la plupart inexplorées. Les gens ordinaires ne visitaient pas la forêt, ni le jour, ni la nuit…

Mystérieuses sculptures anciennes d’êtres inconnus

Un grand nombre d’inscriptions, de dessins et de signes curieux et inexpliqués ont été découverts dans les grottes et sur les pierres de la forêt de Fontainebleau. Ces représentations anciennes couvrent plus de 2 000 km².

forêt de Fontainebleau

La forme de certains rochers est inhabituelle. Crédit image : www.france-voyage.com

Certains dessins représentent des êtres remarquables qui ont un corps rectangulaire, pas de cou, des yeux creux et un nez en forme de U. Dans de nombreux cas, il leur manque des jambes et ils n’ont que trois doigts !

Symboles anciens non déchiffrés, un casse-tête pour les scientifiques

Les dessins dans la forêt de Fontainebleau sont accompagnés d’un grand nombre de symboles non déchiffrés. Il est très difficile de déterminer l’âge des signes mystérieux gravés sur les murs.

Les archéologues ont découvert des croix, des cercles, des lignes et des motifs structurés qui semblent tous d’origine préhistorique.

forêt de Fontainebleau

De nombreux symboles antiques inconnus ont été découverts cachés sur les rochers de la forêt de Fontainebleau.

Un certain nombre de symboles et de signes anciens ont été gravés très profondément sur des pierres et des murs de grottes dans les endroits les plus difficiles d’accès.

Dans certains cas, le passage de la grotte était si étroit que les chercheurs n’ont pu passer qu’un seul bras à l’intérieur pour toucher la gravure en forme de filet. Pourquoi quelqu’un graverait-il un symbole ou un signe que personne d’autre ne peut voir ? Le véritable but de ces signes et symboles anciens reste un mystère.

Traces d’une civilisation perdue et inconnue vieille de mille ans

Une civilisation ancienne, aujourd’hui disparue, habitait-elle autrefois la forêt de Fontainebleau ? Les archéologues et autres scientifiques qui ont étudié les anciennes gravures rupestres ont des raisons de croire que les gens vivaient dans certaines des grottes de la forêt il y a des milliers d’années. Cela signifierait que la forêt est plus ancienne qu’on ne le pensait et que nous sommes tombés sur les traces d’une civilisation perdue.

Ancienne civilisation de Fontainebleau.

L’histoire ancienne de la forêt de Fontainebleau est négligée.

Au début des années 60, Robert Gonzo, archéologue amateur, découvre des tombes néolithiques au milieu de Fontainebleau. L’une d’elles est située sur des blocs géants. On ne sait pas si les blocs sont naturels ou délibérément érigés par des gens de la préhistoire. À l’intérieur de la tombe, M. Gonzo a trouvé plusieurs petites sculptures et tablettes de pierre.

Certains scientifiques ont rapidement étiqueté les sculptures en pierre comme des formations naturelles et l’affaire a été classée. Les tablettes, cependant, étaient plus intéressantes et déconcertantes pour les chercheurs qui les ont examinées. Les tablettes étaient recouvertes d’idéogrammes qui indiquent un système d’écriture.

Cela signifie qu’une civilisation avancée capable d’écrire habitait l’Europe bien avant qu’elle ne soit communément acceptée par les historiens traditionnels.

Évidemment, nous ne pouvons pas affirmer avec certitude que les idéogrammes gravés sur les tablettes découvertes dans la forêt de Fontainebleau font en fait partie d’une ancienne écriture inconnue. Cependant, sur la base d’autres découvertes anciennes en Europe, comme les tablettes de Tărtăria et les symboles Vinca, il est possible qu’une civilisation ancienne et inconnue, capable d’écrire, ait habité la forêt de Fontainebleau il y a des milliers d’années.

Certaines roches de la forêt de Fontainebleau représentent des animaux qui n’appartiennent pas à cette région géographique.

On y trouve des pierres en forme d’éléphant, de phoque et de rapace. Il y a aussi de grandes sculptures en pierre qui représentent des gens et vous pouvez clairement voir un visage !

GRAVURES FONTAINEBLEAU

(photo : la gazette)

GRAVURES FONTAINEBLEAU

GRAVURES FONTAINEBLEAU

(photos : foret-fontainebleau)

Bien sûr, la question demeure : les sculptures en pierre dans la forêt de Fontainebleau sont-elles des formations naturelles ou les sculptures d’une mystérieuse civilisation qui ont voulu commémorer les animaux dont ils ont été témoins dans leur vie quotidienne. Cette race inconnue a-t-elle fait des sculptures de pierre à leur propre image ?

Quelqu’un vivait dans la forêt de Fontainebleau il y a des milliers d’années. Quelqu’un a sculpté des symboles étranges, non déchiffrés, et des êtres avec trois doigts. Quelqu’un a écrit des tablettes que nous ne pouvons pas déchiffrer à ce jour…

pétroglyphes du massif de Fontainebleau

Quelques pétroglyphes du massif de Fontainebleau dessinés par Georges Nelh
(Initiation à l’Art rupestre du Massif de Fontainebleau, 1988)

pétroglyphes du massif de Fontainebleau

Qui étaient ces gens ? D’où viennent-ils ? Pourquoi ont-ils disparu ?

En vérité, l’histoire de la forêt de Fontainebleau est négligée et ce lieu ancien mérite plus d’attention. La forêt de Fontainebleau attend encore que l’on découvre son véritable passé…

Les anciens secrets de la civilisation perdue qui a vécu ici sont gravés sur les vieilles pierres et les murs des grottes.

Personne ne peut nous dire l’identité de la race mystérieuse qui habitait cette région.

Il n’y a plus de témoins… à part les vieux arbres et les rochers…

Source : Ancient Pages – Traduit par Anguille sous roche

Des gravures rupestres en forêt de Fontainebleau

Dans la forêt de Fontainebleau, les hommes préhistoriques puis historiques ont laissé des œuvres d’art. Mais il faut se glisser sous les rochers et dans les interstices de roches pour les découvrir.

Des gravures rupestres en forêt de Fontainebleau  
Le trou du Sarrazin, une petite grotte couverte de gravures rupestres, essentiellement des sillons (Villeneuve-sur-Auvers). Emmanuel Breteau

Un paysage chaotique et mamelonné où chênes, pins sylvestres et châtaigniers poussent entre de gros blocs en grès gris, alternant avec un sol sableux, parfois très blanc, recouvert de bruyères et fougères séchées par les premiers froids…

Nous sommes à une cinquantaine de kilomètres de Paris, dans la forêt de Fontainebleau. Dans le massif des Trois-Pignons, plus précisément.

Des blocs creux à l’intérieur

Là, au détour d’un chemin sinueux bien connu des initiés du Groupe d’études, de recherches et de sauvegarde de l’art rupestre (Gersar), on tombe sur un petit couloir séparant deux gros blocs de grès qui se sont disjoints il y a plusieurs millions d’années.

Curiosité de la nature, certains de ces blocs sont creux à l’intérieur, formés à la suite d’une « cimentation du sable » : celui-ci, resté par endroits sous forme de fine poudre, s’est répandu au dehors quand les blocs de grès se sont fendus.

Découvrant ces parois à la fois abritées et cachées, des humains s’y sont faufilés et y ont dessiné des gravures. « Mais pour voir ces œuvres d’art primitives, il faut faire preuve de souplesse », prévient Alain Bénard, 69 ans, naturaliste de formation et président de l’association.

Un art rupestre à base de lignes droites

Dans l’un des rochers, en grande partie muré et donc plongé dans le noir, il faut engouffrer la partie supérieure de son corps puis, à l’aide d’une lampe de spéléologue, balayer le sol et les parois, et laisser glisser son regard en suivant les milliers de lignes droites et orthogonales constituant des grilles, jusqu’au fond de la grotte. À la fin de cet exercice pour le moins inhabituel, on se prendrait presque pour un félin prisonnier d’une immense cage.

En fait, « il s’agit de rainurages en forme de grilles, de quadrillages évoquant des tablettes de chocolat ou des grilles de prison, bref d’un art rupestre à base de lignes droites, non figuratif, répétitif, codifié que, faute d’éléments indicateurs, on ne peut dater que d’après le style, en l’occurrence celui de l’époque mésolithique (entre environ 10 000 et 5 000 ans avant J.-C.), explique Alain Bénard (2). L’artiste de l’époque ne pouvait tracer que des lignes droites pour des raisons techniques : il ne possédait que des lames en grès – appelées gravoirs –, plus rarement en silex, à peine plus solide que le grès qu’il entaillait. Hors de question, donc, de tracer des courbes », précise l’archéologue.

« Les objets bougent et s’enfoncent inexorablement »

Tout comme ses ancêtres de Lascaux ou de Chauvet, il pouvait néanmoins profiter des courbures de la paroi et créer, par une sorte de magie, des formes à trois dimensions. « En plus, l’un des blocs abrite un cheval de l’époque paléolithique (entre – 15 000 et – 12 000) et un pubis féminin, tandis que l’autre arbore un cerf, animal peu représenté », poursuit-il.

Ces abris ornés n’étaient pas habités, mais étaient cachés et servaient probablement de lieux de rites ou de culte. En effet, « la grande majorité des abris sous roche ne constituent pas un site archéologique avec des restes d’objets, de foyer ou d’ossements, ce qui complique la datation », indique Colas Guéret, post-doctorant en archéologie à l’université Paris 1.

Spécialiste de l’analyse des traces et des émoussés (arêtes) de la tranche des lames de grès, permettant d’en déduire l’usage précis, Colas Guéret est tracéologue. « De plus, le sol étant sableux, les objets bougent et s’enfoncent inexorablement, diminuant les chances de les exhumer aujourd’hui », poursuit-il.

Des gravures rupestres en forêt de Fontainebleau  

Représentation d’un cervidé, dans l’abri de la Ségognole, forêt des Trois-Pignons (Noisy-sur-École). / Emmanuel Breteau

« On estime à 2 000 le nombre d’abris ornés »

Un peu plus loin, on doit littéralement ramper comme un lézard pour se faufiler dans la grande fissure horizontale d’un rocher et déboucher sur une petite grotte. Dans la lumière de la lampe, superposés aux quadrillages typiques du mésolithique, surgissent un magnifique cavalier tracé à l’époque médiévale, ainsi qu’une « triple enceinte », trois carrés encastrés à l’instar de poupées russes, symbole chrétien du XIIe au XIVe siècle.

Un peu plus loin émergent plusieurs figures anthropomorphes, bras écartés, parfois dotés de trois doigts à chaque main. « Cette tridactylie pourrait être un marqueur culturel du VIIIe millénaire », avance prudemment Alain Bénard.

Des gravures rupestres en forêt de Fontainebleau  

Personnage tridactyle, dans l’abri du mont Aiveu, forêt de Fontainebleau. / Emmanuel Breteau

Dans un dernier abri, enfin, disposé tout en longueur et bas de plafond, on découvre tout un ensemble de quadrillages du mésolithique, ainsi que des gravures d’objets guerriers de l’âge du bronze (épée, bouclier, pointes de lance), et une croix sur socle. « On estime à 2 000 le nombre d’abris ornés, dont seulement 10 % ont été relevés à ce jour », résume Alain Bénard. Ce qui, en termes de quantité de gravures, en fait le second site après celui de la vallée des Merveilles et du mont Bégo (Alpes-Maritimes) qui, lui, date du néolithique/âge du bronze.

(source : la-croix)

 
 

Des artefacts incroyables

 ARTEFACTS du MEXIQUE

Des artefacts de collections privées au Mexique

Des étranges artefacts sont retrouvés au Mexique représentant des ovnis et des êtres avec des gros yeux..

"OOParts"  :  Out of place artefacts

Artefacts du Mexique. Artefacts du Mexique.

Artefacts du Mexique. Artefacts du Mexique.

Artefacts du Mexique.

 Theocaltiche - Jalisco - Mexique - Coll. Dr. Gonzalo Franco Martinez, 

(Source Facebook de Oleg Elistratof  de Staraztlan)

Aujourd'hui, j'aimerais parler du Dr Gonzalo Franco Martinez et de son incroyable collection d'objets en céramique.
 Gonzalo Franco Martinez, médecin à l’Université nationale autonome du Mexique (UNAM), vit depuis une trentaine d’années dans la ville de Teocaltiche, à Jalisco.

Des artéfacts déroutants 

Artefacts du Mexique. Artefacts du Mexique.

Artefacts du Mexique. Artefacts du Mexique.

 Dans sa collection de céramiques précolombiennes, il y a plus de 20 objets étonnants avec des images de différents types d'OVNIS et de créatures inhabituelles. Selon ses rapports, tous ces objets ont été trouvés dans une des zones archéologiques de la ville de Teocaltiche appelée "Cerro de los Antiguos".

 Teocaltiche est une petite ville de l'Etat de Jalisco, dans le centre-ouest du Mexique, qui compte environ 25 000 habitants. La ville a été fondée en 1530 et est l'une des plus anciennes colonies d'influence hispanique de l'époque de la conquête espagnole. On croit officiellement que les premiers établissements indiens ont vu le jour au XIIe siècle. Le siège originel de Teocaltiche se trouvait dans la bande occidentale de la rivière de son nom, basée sur la colline maintenant appelée "De los Antiguos". Le nom de la ville Teocaltiche est traduit de la langue nahuatl comme "un lieu près de l'église". Cependant, il existe une autre version de ce nom.

Artefacts du Mexique. Artefacts du Mexique.

Artefacts du Mexique.

Les pierres  de Ojuelos Jalisco au Mexique qui montrent des êtres extraterrestres et humains sont vraies, anciennes et démontrent donc que, dans l'Antiquité, les Nahuatl, les Huachachiles et d'autres hommes sages de Mésoamérique coexistaient avec des extraterrestres, les Résultats et  Les enquêtes seront exposés au Congrès des OVNIS Tepoztlan 2018.

Des artéfacts déroutants

  Teocaltiche est célèbre pour l'observation des extraterrestres. On dit que dans cette ville tout le monde a été observé au moins une fois dans sa vie par un OVNI.  Dr. Gonzalo Franco Martinez, documente le phénomène OVNI depuis 20 ans. Il a réalisé un grand nombre d’enregistrements vidéo de ses observations. Dans cette zone de Jalisco, il observait très souvent des vols et des atterrissages de différents types d'OVNIS. Il croit que dans cet endroit, il existe un portail énergétique que les aliens utilisent comme base spatiale.
 En conclusion, il est important de noter que dans la collection du médecin sont présentés des artefacts en céramique, ce qui permet de mener leur datation par méthode TL. Il est également intéressant de noter que la ville de Teocaltiche est relativement proche (~ 65 miles) d'Ojuelos, Jalisco, où, comme on le sait, des artefacts célèbres avec des images d'OVNIS et d'étrangers ont été trouvés dans les collines El Toro.

Artefacts du Mexique. Artefacts du Mexique.

Artefacts du Mexique. Artefacts du Mexique.

Artefacts du Mexique.  Artefacts du Mexique.

Artefacts du Mexique.

 Ancienneté de  1050 ans 

Artefacts du Mexique.

 Aujourd'hui, je voudrais reparler de la petite ville de Teocaltiche, Jalisco et de l'incroyable collection du Dr Gonzalo Franco Martinez, que nous avons visitée.

Artefacts du Mexique.

 Theocaltiche peut être appelé une Mecque mexicaine pour les chercheurs du phénomène OVNI. Les vols d'ovnis ici sont observés constamment et les habitants contactent des "étrangers". Ceci est démontré par la collection unique d'artefacts du Dr Gonzalo Franco Martinez, qu'il a recueilli depuis plus de 20 ans.

 Des artéfacts déroutants

 Nous avons soigneusement examiné la collection. Comme on le sait, les céramiques médiévales locales sont largement représentées. Il est intéressant de noter que la plupart des objets en céramique, représentant une variété d’avions extraterrestres, ont été trouvés sous la forme de fragments sur la colline Cerro de los Antiguos, au centre de la ville. Il y a une hypothèse que la colline elle-même est envahie par l'ancienne pyramide. En effet, pour cela il existe certains terrains - une colline de 25-30 mètres de haut, de forme pyramidale et on trouve souvent des pierres plates sculptées qui pourraient appartenir à la pyramide. Nous en sommes convaincus lors d’une visite à la colline. Tout le sommet de la colline est parsemé de trous et partout on peut trouver des fragments de vieilles poteries.

Surprenant est le fait que la collection contient différents types d’aéronefs et de fantastiques personnages "étrangers" (voir photos de la collection du Dr. Gonzalo Franco Martinez).

Des artéfacts déroutants


 Bien entendu, il est fondamental d’obtenir des preuves de l’authenticité de ces artefacts. Le médecin lui-même n'a pas effectué de tests pour les artefacts de sa collection. Il a cependant signalé qu’il y a quelques années, des scientifiques américains avaient fait un test sur des fragments de céramique de sa collection et avaient obtenu un résultat positif. Mais les informations sur qui l'a fait et quand , ainsi que les documents du test sont absents. Par conséquent, nous avons suggéré au Dr Gonzalo Martinez de faire un test de thermoluminescence de ses céramiques pour déterminer l'âge dans l'un des laboratoires faisant autorité. Il nous a donné des échantillons de céramique. En outre, nous avons eu la chance d’acheter pour notre collection un objet en céramique de Theocaltiche.
 Les échantillons pour analyse ont été envoyés à un allemand bien connu.  Le laboratoire Kotalla, qui possède une vaste expérience dans le test d'objets anciens en céramique. Auparavant, ce laboratoire avait déjà effectué pour nous un test pour une "soucoupe" en céramique du "Atstlan" d'El Toro (pour plus d'informations, consultez notre site Web http://elhistoria.ru/).

  Des artéfacts déroutants

  Artefacts du Mexique. Artefacts du Mexique.

Artefacts du Mexique.

Artefacts du Mexique.


 Les résultats des tests ont montré que, sur la base de l’analyse de l’effet de thermoluminescence, un artefact en céramique de Theocalatice peut être daté entre 10 et 12 siècles après J.-C. 
 Il est très important de noter que cette estimation de l’âge coïncide à peu près avec les données archéologiques officielles du moment où les premiers établissements indiens surgirent sur ce site.

Des artéfacts déroutants

  Ainsi, on peut raisonnablement supposer que depuis le 12ème siècle, c'est-à-dire depuis le début des premières colonies, des phénomènes d'OVNIS sont constamment observés dans cette zone et que des contacts avec des extraterrestres ont eu lieu, comme en témoignent les céramiques locales. Cela indique qu’il existe probablement un prétendu portail, c’est-à-dire le lieu de "connexion" des mondes parallèles. Bien sûr, cela semble fantastique. Mais il nous semble indiscutable que la zone de Teocaltiche, à l'instar de la collection du Dr Gonzalo Franco Martinez, mérite la plus grande étude de la part des scientifiques et des spécialistes.

Datations

Artefacts du Mexique.

Analyse (Université de l'Arizona)  de la pipe en jaspe Del Torro Aztlan (Mexique - collection Josh Sisler) - Voir ICI

Datation : 5000 ans minimum

Artefacts du Mexique.

Artefacts du Mexique.

En conclusion, nous notons que les résultats cumulés des tests de laboratoire que nous avons effectués (six tests) et d'autres informations analytiques montrent de manière convaincante qu'au tournant de 6-7 millénaire avant notre ère, un paléocontact historique a eu lieu, ce qui a apparemment eu un impact global sur le développement de la civilisation humaine.

 Résultats préliminaires de l'étude des tables en pierre El Toro "Aztlan"

 Fragments des panneaux de livre en pierre avec superpositions en pierre.

Un argument supplémentaire en faveur de la faisabilité d'un test du carbone sur les échantillons des panneaux de livre en pierre est le fait qu'en 2012-2018, la datation au radiocarbone d'échantillons de colle de plusieurs artéfacts trouvés dans les collines d'El Toro, c'est-à-dire sur le même territoire, a été réalisée avec succès. où les panneaux que nous avons étudiés ont été trouvés.

Ainsi, lors de la première expédition au Mexique, en février 2018, nous avons prélevé des échantillons de colle sur l'un des panneaux du «livre de pierre».

Artefacts du Mexique.

Artefacts du Mexique.

Artefacts du Mexique.

Selon le rapport, la datation du carbone isolé à partir de fragments de colle dans l'isotope C14 a donné un résultat d'environ 8200 ans. En outre, le programme d'étalonnage des résultats a été utilisé, ce qui a porté la période à environ 9200 ans .

L'attention est attirée sur le fait que les résultats de ce test sont assez proches de ceux obtenus avec la datation au radiocarbone obtenue dans le même laboratoire plusieurs années à la fois pour des échantillons de colle prélevés sur plusieurs artefacts de la zone El Toro. La proximité des résultats peut indiquer qu'ils concernent tous approximativement la même période et qu'ils ont été réalisés avec le même type d'adhésif.

Test 2012 (septembre) de l'année: masque de mosaïque - 8700 ans

Test 2016 (mai) de l'année: masque - 8400 ans

Essai 2018 (février) de l'année: pipe à fumer - 8500 ans

Test 2018 (mai) de l'année: panneau «Stone Book» - 8200 ans

Les écarts dans les résultats sont presque inférieurs à 5% de l’erreur type d’observation.

Bien sûr, les dates obtenues doivent être considérées comme des estimations indirectes de l'âge des artefacts, car l'âge de la substance adhésive peut ne pas coïncider avec le moment de sa fabrication. Source : staraztlan.org

   La théorie des Anciens astronautes est appelée : "Néo-évhémérisme"

Ojuelos de Jalisco (Torro Aztlan) au Mexique collection of Dr. Gonzalo Franco Martinez

Voir aussi :  elhistoria   et la page STAR AZTLAN

Artefacts du Mexique

Artefacts du Mexique

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Artefacts du Mexique Artefacts du Mexique

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Artefacts du Mexique Artefacts du Mexique


 Nouveaux artefacts à Guerrero 

 Le Dr Pablo Sanchez présente des nouveaux artefacts trouvés dans l'état de Guerrero (Mexique)

 Voir ICI

Artefacts du Mexique. Artefacts du Mexique.

Guerrero, Mexico (Collection de Mario Higuera)

Guerrero  - Mexique

Artefacts du Mexique

Des artéfacts déroutants

Des artéfacts déroutants

 Mario Higuera  - El Torro Aztlan - Mexico

Artefacts du Mexique

Page Fbook de Oleg Elistratof et Vidéo

Artefacts du Mexique.

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Artefacts du Mexique.

 Crâne trouvé à Ojuelos Jalisco México,

Artefacts du Mexique

 Mexique

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 Musée de XIUTETELCO - Mexique

Artefacts du Mexique.

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Artefacts du Mexique. 

Un embryon dans un serpent ? 

Artefacts du Mexique.

Artefacts du Mexique.

Cette vidéo a été enregistrée à San Juan Xiutetelco, dans le musée communautaire dirigé par le professeur Rafael Julián Montiel. Depuis trente ans, le professeur Rafael Julián est chargé de rassembler des dizaines de pièces archéologiques découvertes dans la ville de la municipalité susmentionnée. Il y a quelques mois, ils ont trouvé lors de la construction d'une route une pièce extraordinaire représentant un être extraterrestre, exposée dans les installations du musée Xiutetelco.

  Les grottes de Juxtlahuaca - Mexique (Etat de Guerrero)

Artefacts du Mexique.

Les grottes de Juxtlahuaca ([xuʃtɬaˈwaka]) sont un ensemble de cavités souterraines mexicaines de l'État du Guerrero, où ont été découvertes des peintures murales utilisant des motifs et représentant des sujets caractéristiques de l'iconographie olmèque. Ce sont les peintures rupestres les plus anciennes de Mésoamérique avec celles de la grotte d'Oxtotitlán (en), qui se trouve à proximité, et c'est le seul exemple connu d'art rupestre mésoaméricain en-dehors de l'aire culturelle maya.Le site archéologique de Juxtlahuaca est situé dans un parc national, à environ 52 km au sud-est de Chilpancingo. Le système de cavités souterraines s'étend sur environ 5 km ; la première exploration complète connue remonte à 1975 (par un guide local appelé "El Chivo"), et au moins trois autres ont été organisées : en 1976 (par Arturo Lozano Hube), ainsi qu'en 1990 et 1995 (dirigées par Eduardo Llamosa Neuman). Les grottes sont ouvertes au public, et sont fréquemment visitées par des spéléologues. Les peintures se trouvent à près d'un kilomètre de l'entrée d'une longue caverne ; le temps de descente est proche de deux heures et certains passages sont immergés. Source : wikipedia

 Une carte des étoiles

Des artéfacts déroutants

Pourquoi une civilisation du passé clairement hautement avancée aurait-elle été si obsédée par les étoiles?
 Si l'on s'interroge sur cette question, sans les explications obscures et primitives fondées sur des croyances et les motivations du milieu universitaire, c'est une question qui devient extrêmement convaincante.

Des artéfacts déroutants

A Qorikancha Cusco, le disque de l'étoile d'or reposait autrefois sur une grande carte de l'étoile, mais les chercheurs ont apparemment été incapables, pour décrire ses représentations évidentes, de déchiffrer facilement ce disque.

Des artéfacts déroutants

La carte d'étoile d'or, selon un aîné inca, est une carte du ciel d'où leurs ancêtres et Viracocha sont venus.
 Il a été étudié par des universitaires au cours des 70 dernières années, bien que cette recherche ait peu porté ses fruits. Son détail a été magistralement produit sur une énorme feuille d'or martelée, et on pense qu'il s'agissait d'un simple morceau de carte une fois beaucoup plus grand ...

Comment cet ancien peuple a-t-il tant appris sur les étoiles et l'univers qui nous entoure? Pourquoi étaient-ils si obsédés par les étoiles, les Incas étaient-ils visités par des êtres de l'espace?
 Peut-être qu'un jour, nous le découvrirons...

Source : alien-related

Empreintes de pieds de 290 millions d'années

Le paléontologue Jerry MacDonald a trouvé une grande variété de traces fossilisées en 1987. Les traces anciennes ont été faites par toutes sortes d’animaux et d’oiseaux situés dans une des strates du Permien.  

Parmi les diverses traces fossilisées, MacDonald a découvert les empreintes indéniables d’un pied nu humain impossiblement situé  dans les strates du Permien. Les strates du Permien remontent de 290 à 248 millions d’années de nombreux millions d’années avant que les animaux, les oiseaux, les dinosaures, et l’homme n’existent. En juillet 1992, the Smithsonian Magazine publia un article sur les traces de MacDonald, « Empreintes pétrifiées : Un défilé déroutant des Bêtes du Permien. » Le  Smithsonian admit le mystère et reconnut « ce que les paléontologues aiment appeler problématique. » Il décrit ce qui semblait être empreintes de pas humains. Les humains ont évolué longtemps après la période du Permien, mais ces traces sont clairement du Permien. »

Article de Ken Pfeifer (Mufon du New-Jersey) area51

  ARTEFACTS DEROUTANTS

Beaucoup d’artéfacts étranges trouvés en Équateur

Je vais continuer à faire le tour de certaines pièces archéologiques découvertes en Équateur et qui sont toujours examinées par les scientifiques pour révéler leurs secrets, origines et méthodes de fabrication. Toujours dans le but bien sûr de prouver ou non leur authenticité et leurs datations (prouver qu’une roche datant de centaines de millions d’années a été gravée il y a quelques milliers d’années est très difficile question précision : les progrès de la recherche technologique à ce niveau, avec plusieurs succès (comme la thermoluminescence, l’analyse des pigments organiques utilisés…) permettent de penser que nous le pourrons bientôt (avec une marge d’erreurs très réduite), mais nous n’en sommes pas encore tout à fait là…

ARTEFACTS DEROUTANTS ARTEFACTS DEROUTANTS

ARTEFACTS DEROUTANTS ARTEFACTS DEROUTANTS

On sait également que les peuples descendants des antiques civilisations de ces régions ont, pour des raisons de survie, fait un commerce de ces artéfacts, à partir du milieu du 20ième siècle, et que certains villages ont été jusqu’à la fabrication moderne, artisanale mais aussi usinée, de copies d’artéfacts antiques… Tous ces faux artéfacts sont évidemment facilement identifiables pour les professionnels mais les touristes les achètent volontiers comme « souvenirs », d’autant plus qu’ils ne sont pas très chers pour des reliques « Incas » ou « Mayas »…

Certains scientifiques pensent également que certains de ces artéfacts étranges pourraient être des « hybrides » : des objets réellement antiques, mais retravaillés plus récemment (le récemment peut varier sur 2500 ans tout de même) par les habitants locaux, mais les traces et patinages de couleurs différentes apportés par le temps ont été analysées comme non artificiels (à l’inverse des faux artéfacts récents). J’ai moi-même pensé à une autre explication possible : il s’agit (en ce qui concerne les objets d’origines asiatiques ou égyptiennes et locaux) du trésor d’un conquistador qui a beaucoup voyagé et qui l’a ramené et enterré ici, puis est mort sans pouvoir le récupérer.

Cela n’enlève pas toute l’étrangeté de ces objets mais peut fournir une explication sur cette réunion au même endroit de ces objets de cultures proches mais différenciées. Cependant, ma propre réflexion contredit en partie cette idée : rien que le nom local de La Mana, le fait que les objets ont été trouvés en territoire non conquis dans la réalité par les Conquistadores, le fait que d’autres objets similaires ont été trouvés ailleurs et même dans des tombes de datations différentes.

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D’ailleurs, la collection du Padre Crespi en contient aussi certains, et on sait que le prêtre, décédé en 1982, était un acharné dans la recherche de faux dans sa collection : il enquêtait rigoureusement auprès de ses ouailles indiennes sur la provenance exacte des objets et se rendait sur place pour fouiller lui-même. Le Padre, né en 1891, a pratiqué en Équateur de 1923 jusqu’à sa mort et on sait que tous ces artéfacts ont été trouvés dans un vaste réseau de sous-terrains profonds en pleine jungle et ont été entreposés dans l’église de Maria Auxiliadora. Malheureusement, une partie de ces artéfacts ont été détruits par l’incendie d’origine indéterminée de l’église et par sa restauration en 1962, et plusieurs vols ont aussi eu lieu…

ARTEFACTS DEROUTANTS ARTEFACTS DEROUTANTS

Après la mort du Padre, ils ont été retiré de la vision du public et stockés dans les caves de l’église d’où ils ont pu être sortis récemment pour expositions et analyses. Le Padre Crespi, bien que n’ayant jamais voulu tenter de classer ces objets, a apporté de bonnes connaissances sur l’endroit de ces sous-terrains et le peuple les protégeant : les Shuar-Achuar, une population d’environ 70 000 indiens répartis en 400 communautés (ou tribus), également nommés « Los Invencibles Shuar del Alto Amazons ». Les invincibles car jamais les Incas ou les Conquistadores n’ont pu les dominer ! Seule la religion chrétienne a pu légèrement modifier leur culture sur la longueur…

Dans les années 1990, la capitale Quito a envoyé sur leur territoire des négociateurs en vue d’une exploitation de l’uranium détecté : les Shuar n’étant pas prévenus de cette intrusion ont capturé les officiels, et leurs seuls mots aux négociations sur l’énergie atomique ont été « Hiroshima » et « Nagasaki »… Comme quoi cet « exploit » triste moderne a même atteint le fond de l’Amazonie ! Quito a laissé tombé en argumentant que la quantité d’uranium n’était pas assez rentable à priori… Ces sous-terrains sont encore de nos jours en partie inexplorés car dangereux et sujets à inondations fréquentes.

Film 1927 sur la culture Shuar de Crespi, à la fin du film de 8 mn dans lequel on voit les conditions d’accès difficiles au village et les indiens l’accueillir, le Padre montre l’entrée des sous-terrains. Les Shuars sont les descendants ou les gardiens d’une culture locale très évoluée dans le passé et encore inconnue en grande partie.

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L’une des pièces les plus remarquables est cette plaque en or sur laquelle est gravée une écriture inconnue sur le continent. En 1976, un linguiste Hindou, Dileep Kumar, a dit que cette écriture était proche du Brahmi, antique langue et écriture utilisée encore selon l’Histoire de l’Inde il y a 2300 ans, confortant le Padre dans ses convictions. Il y a aussi de très nombreuses feuilles d’or gravées, constituant peut-être un livre graphique, des fresques ou recouvrants les murs d’antiques Temples. De nombreuses statuettes proches de la culture babylonienne, y compris des représentations d’hybrides mi-hommes mi-reptiles ou sauriens, ainsi que des gravures de pyramides de type égyptien, des symboles de plusieurs cultures (y compris vestimentaires) et le 3ème Oeil toujours présents.

La collection du Padre Crespi, ce dernier disait pouvoir prouver des liens entre l'ancienne Babylone et des peuples d'Amérique du sud.

source: ufoetscience 

  1894   - Badlands de Wyoming Nebraska Rocky Mountains.

Des artéfacts déroutants

Les tire-bouchons du diable dans le pays des Sioux au Nebraska ont longtemps été considérés comme un casse-tête scientifique impossible à résoudre. Qui a sculpté ces spirales remarquables avec une précision que pourrait exprimer une formule mathématique ?Certains d'entre eux ont quinze pieds de long et environ quinze à trente millions d'années !

 Le tire-bouchon typique du diable se compose de deux parties - la vis et une «racine» massive, parfois aussi grosse que le fût d’un chapiteau qui se détache de la partie inférieure de la spirale. Dans une zone d'environ 500 miles carrés au Nebraska, il y a littéralement des millions de ces objets curieux, révélés comme étant la formation de grès. Ils sont composés de quartz.

Les spirales ont été découvertes en 1894 lorsqu'une expédition a entrepris de rechercher des fossiles dans les Badlands du Wyoming, dans les montagnes Rocheuses du Nebraska. Le premier jour, ils ont trouvé de grands fossiles de tire-bouchon connus localement sous le nom de Tire-bouchons du diable. En tant que paléontologue universitaire, le professeur Barbour leur a donné le nom latin de «Daemonelix».

Des artéfacts déroutants

 Malheureusement, comme c'est souvent le cas, en raison du manque d'explication sur ces spirales curieuses, ils ont rapidement été étiquetés comme l'œuvre du diable. Les scientifiques ont rencontré un véritable mystère et ont été forcés d'admettre qu'ils ne connaissaient ni l'origine ni les créateurs de ces spirales mystérieuses.

Les gens se demandaient comment un pilier torsadé de 15 pieds. ou plus en hauteur, aussi mathématiquement formé que n'importe quel tire-bouchon ordinaire, en quartz, aurait pu être créé sans l'intervention d'un artifice quelconque?

De toute évidence, du point de vue populaire, une origine surnaturelle doit être responsable du phénomène en question, que les mieux informés connaissent sous le nom de «tornade fossile». Les spirales sont des fossiles - cela ne fait aucun doute - mais si l'on rejette la théorie de l'intervention diabolique, qu'est-ce qui pourrait être à l'origine de la création des tire-bouchons du diable ? Certains des tire-bouchons du diable découverts mesurent 15 pieds de long et environ 15 à 30 millions d’années !Certains scientifiques ont spéculé qu'il s'agissait de vignes pétrifiées, mais qui a déjà entendu parler d'une vigne qui a grimpé dans une spirale mathématique? D'autres ont suggéré qu'il s'agissait de vers fossiles de taille énorme - une idée très ingénieuse et même plausible. Dans une région connue pour avoir été habitée autrefois par de nombreuses espèces gigantesques de reptiles, certaines d’entre elles mesuraient 90 pieds. de longueur - dont les restes sont extraits des roches des Bad Lands aujourd'hui, pourquoi n'y aurait-il pas eu des vers exceptionnellement gros ?

 Lorsque le mystère a été résolu, il s'est avéré que cette petite créature était responsable de la création des tire-bouchons géants. Une surprise pour certains. Une enquête ultérieure a révélé quelque chose de très surprenant et pourtant très logique. Le créateur inconnu des Tire-bouchons du Diable était en fait un castor préhistorique appelé Palaeocastor ! L'animal vivait dans les badlands nord-américains à la fin de l'oligocène. Le Palaeocastor fabriquait des terriers et des tunnels en forme de tire-bouchon. Il rongeait la terre au lieu du bois. Les animaux fabriquaient des terriers en forme de tire-bouchon verticaux avec des chambres de nidification latérales et d'autres compartiments utilisés comme latrines ou pour le drainage de l'eau. Après l'abandon, les racines des arbres se sont développées dans les terriers en forme de spirale et se sont plus tard fossilisées.

Des artéfacts déroutants

Aujourd'hui, ces fossiles de tire-bouchon peuvent encore être vus au monument national des lits fossilifères d'Agate, situé sur la rivière Niobrara, dans le nord-ouest du Nebraska.

Source : messagetoeagle.  

 Des artéfacts vieux de trois milliards d’années…

Depuis plus de 30 ans, des mineurs extraient d’une mine d’argent en Afrique du Sud, la Wonderstone Silver Mine, d’étranges artefacts : des sphères métalliques. On en a déjà retrouvé des centaines. Les sphères ont un diamètre qui varie de 3 à 10 cm. Elles sont composées d’un alliage à base de nickel et d’acier. Cet alliage n’existe pas à l’état naturel. Une ou plusieurs rainures concentriques entourent certaines des sphères, les partageant en deux hémisphères égaux, ce qui éloigne la possibilité d’une formation naturelle. Les étranges trouvailles se divisent en deux sortes: des sphères en métal bleuté moucheté de blanc, et d’autres sont pourvues d’une sorte de coquille. Lorsqu’on la brise, on trouve à l’intérieur une substance spongieuse qui se désintègre au contact de l’air. A l’intérieur de certaines de ces billes, cette substance a l’apparence du charbon.

 ARTEFACTS DEROUTANTS

Tous les artefacts trouvés ne sont pas purement sphériques. Certains sont plus allongés. Les sphères ne sont pas griffées au passage d’une pointe métallique, ce qui atteste leur dureté. Ce qui commence à devenir plus étrange, c’est que ces sphères ont été extraites d’une couche rocheuse de pyrophyllite (roche tendre de 3 sur l’échelle de Moh. A titre de comparaison, le talc vaut 1 sur cette échelle, le diamant, le plus dur: 10) âgée entre 2,8 et 3 milliards d’années, comme en témoigne les examens aux isotopes radioactifs. Le professeur de géologie de l’université de Potchefstroom, A. Bisschoff told penche sur l’hypothèse que ces sphères soient en réalité des concrétions de limonite. La limonite est une sorte de minerai de fer.

En 1979, plusieurs de ces sphères ont été examinées par J.R. McIver, Professeur de géologie à l’Université de Witwaterstand de Johannesburg et le géologue Andries Bisschoff. Des experts de la NASA ont également analysé les sphères. A ce jour, nul n’est parvenu à fournir une explication plausible de leur présence au cœur d’une formation rocheuse de plusieurs milliards d’années !

Des sphères sont exposées au musée sud-africain de Klerksdorp.

La composition pourrait être d’origine météorique mais la formation n’a rien de naturelle et semble bien artificielle.

De plus, Roelf Marx, conservateur du musée Klerksdorp, a découvert que la sphère qui est exposée dans une vitrine du musée, tourne lentement sur son axe sans la présence d’aucune vibration extérieure, comme si une énergie qui lui est propre fonctionne toujours après 3 milliards d’années ?

On parle peu du phénomène, qui mériterait pourtant d’être mieux étudié, ou du moins, dans l’hypothèse que c’est ce qui est en train de se faire, que l’on communique l’entièreté des résultats au grand public. La NASA ne manque pourtant pas de budget et de têtes chercheuses.

(sources : lapressegalactique)

DES GÉOGLYPHES AU MOYEN-ORIENT

 Centaines de géoglyphes visibles du ciel au Moyen-Orient   Mais ce sont les centaines de géoglyphes visibles du ciel dont je vais parler maintenant. Il s'agit de structures de pierres très anciennes réparties de la Syrie à l'Arabie Saoudite dont on ne soupçonne pas facilement l'existence quand on est a leur pied. C'est grâce aux nouvelles technologies de cartographie par satellites et à un programme de photographies aérienne parti de Jordanie que les structures ont été révélées, et on en dénombre maintenant un bon millier...  

Désignées par les archéologues comme des «roues», ces structures en pierre sèche ont une grande variété de modèles, avec, comme base commune, un cercle avec des rayons à l'intérieur. Les chercheurs estiment qu'elles remontent à l'Antiquité, il y a au moins 2.000 ans. Ces structures se retrouvent souvent dans des champs de lave et vont de 25 mètres à 70 mètres de diamètre.

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"Rien qu'en Jordanie nous avons des structures en pierre qui sont beaucoup plus nombreuses que les lignes de Nazca, sur une zone bien plus vaste", a déclaré David Kennedy, un professeur de lettres classiques et d'histoire ancienne de l'Université d'Australie occidentale. Ses dernières recherches révèlent que ces roues font partie d'une variété de  paysages de pierres que l'on peut définir en 3 catégories: Les cerfs-volants (structures de pierre utilisées pour canaliser et tuer des animaux: voyez à ce sujet ce lien) - Les pendentifs (lignes de cairns qui partent des sépultures), Les murs, les mystérieuses structures qui serpentent à travers le paysage jusqu'à plusieurs centaines de mètres et qui n'ont pas d'utilisation pratique apparente. Kennedy et ses collègues sont perplexes quant à l'explication de l'utilité de ces structures et quant à leur signification.

D'abord spécialisé en archéologie romaine, Kennedy a été fasciné par ces structures lorsque, en tant qu'étudiant, il a lu les comptes rendus des pilotes de la Royal Air Force survolant ces régions dans les années 1920. En effet, en 1927, le Lieutenant Percy Maitland publie un compte rendu sur les ruines dans le journal Antiquity. Il a rapporté les rencontrer plus souvent dans les  "pays de lave" et a ajouté que les structures de pierre sont connues des bédouins comme les «œuvres des hommes vieux».

Kennedy et son équipe ont étudié les structures à l'aide de photographies aériennes et Google Earth , car ces "roues" sont difficiles à distinguer au niveau du sol. Les dessins on sûrement dû être plus clair lors de leur construction: "Les gens ont sans doute marché dessus pendant des siècles, des millénaires, sans avoir idée de ce que la forme avait pu être." Les "roues" et "lignes de murs"

Quel était leur utilité ? Jusqu'ici, aucune des roues n'a fait l'objet de fouilles, ce qui rend leur datation, et la compréhension de leur but, difficile.

Les archéologues qui les avaient étudié avant l'ère Google Earth ont supposé qu'elles pouvaient être les vestiges de maisons ou de cimetières. Mais Kennedy pense qu'aucune de ces explications n'est plausible: "Il semble y avoir une certaine continuité culturelle globale dans cette zone; ici les gens sentaient qu'il y avait un besoin de construire des structures qui étaient circulaires." Certaines de ces roues ont été retrouvées isolées tandis que d'autres sont regroupées. À un endroit, près de l'oasis d'Azraq, des centaines d'entre elles peuvent être trouvées et rassemblées dans une douzaine de groupes. "Certaines de ces collections autour d'Azraq sont vraiment remarquables", ajoute Kennedy.

En Arabie saoudite, l'équipe a trouvé des styles de roues qui sont assez différentes: certaines structures sont même rectangulaires; d'autres sont circulaires, mais contiennent deux rayons formant une barre souvent alignée dans la direction du soleil levant et couchant.

En Jordanie et en Syrie, ces structures présentent des rayons plus nombreux et ne semblent pas être alignés sur des phénomènes astronomiques. "En regardant un grand nombre d'entre eux, sur un certain nombre d'années, je n'ai pas été frappé par un motif  se répétant dans la manière dont les rayons ont été aménagés", explique Kennedy.

Les chercheurs ont remarqué que les roues se retrouvent souvent au-dessus des structures en "cerfs-volants", qui peuvent remonter jusqu'à 9000 ans, mais jamais l'inverse. Pour Kennedy, "Cela suggère que les roues sont plus récentes que les cerfs-volants" .

Des roues ? non, des géoglyphes...

Amelia Sparavigna, professeur de physique au Politecnico di Torino en Italie, pense que ces structures peuvent être appelées géoglyphes de la même manière que les lignes de Nazca du Pérou. «Si nous définissons un géoglyphe «comme un large signe sur le sol d'origine artificielle, les cercles de pierres sont donc des géoglyphes». La fonction des roues peut aussi être mise en parallèle avec les dessins énigmatiques dans le désert de Nazca. "Si l'on considère, plus généralement, les cercles de pierres comme des lieux de culte des ancêtres, ou des lieux pour des rituels liés à des événements astronomiques ou saisonniers, ils pourraient avoir la même fonction  que les géoglyphes d'Amérique du Sud. La conception est différente, mais la fonction pourrait être le même, " ajoute-t-elle.

(source :  yvesh )

Un internaute nous donne une autre explications sur ces roues

Ces roues, qui ne sont pas toujours en forme de roue, même si généralement elles sont de forme circulaire, sont tout à faire repérables au sol et n'ont absolument pas la dimension gigantesques des lignes de Nazca.

Contrôlez-vous même sur Google Earth, une dizaine à quelques dizaines de mètres pour les plus importantes.

Elle datent du néolithique et étaient très probablement des enclos dans lesquels les pasteurs de cette époque regroupaient et protégeaient leurs bêtes des prédateurs et les rayons des roues, servaient à mettre certains animaux ensemble et à assurer leur  sélection et l'organisation. A noter que l'on retrouve ce type d'enclos dans certains pays africains, en Jordanie, d'une part, le mode d'élevage a changé et surtout les prédateurs ont presque tous disparus.

Certaines de ces roues...en fait enclos, servaient pour certains de pièges pour attraper les gazelles nombreuses dans ces déserts. R.D.

Merci pour ces précisions.

Des mystérieux livres en plomb perdus depuis 2000 ans  

Les découvertes ont été prétendument faites entre 2005 et 2007, par des bédouins, à l'intérieur d'une grotte perdue aux fins fonds du nord de la Jordanie, il s'agit de 70 livres de métal qui contiennent entre 5 et 15 pages liées par des anneaux de plomb, ainsi que des manuscrits de cuivre contenant des messages cryptés en hébreu et en ancien grec (codex). Cet incroyable trésor datent probablement du premier siècle après J.C.

Ziad al-Saad, directeur du Département des Antiquités de Jordanie, estime que les livrets ont été fait par les disciples de Jésus peu de temps après sa mort.

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"Ces livres et manuscrits auraient été utilisés par les premiers chrétiens venus en Jordanie, fuyant la persécution par les Romains". "L'information initiale est très encourageante et il semble que nous nous penchons sur une découverte très importante et significative. Peut-être la découverte la plus importante dans l'histoire de l'archéologie", explique t-il.

Mais voila, les précieux livres se sont évaporés dans la nature, Mr Al-Saad le confirmait officiellement ce dimanche lors d'une conférence de presse à Amman, que les pièces d’exception avaient été repérées en Israël où elles sont entrées en contrebande.

"Elles ont été découvertes au nord de la Jordanie il y a plusieurs années, lors de fouilles illégales dans des grottes, et ont été introduites en contrebande en Israël, où elles se trouvent entre les mains d'un commerçant israélien qui les a expertisées en Grande-Bretagne", précise t-il.

"Ces pièces sont un trésor d'une importance historique cruciale, car ils apportent de nouvelles informations sur les origines du christianisme, surtout que les manuscrits de cette époque sont rares", a ajouté M. Al-Saad.

Publiée par le site du Dailymail, l'une des pages qui se trouve entre les mains des experts semble représenter les traits d'un visage humain portant une couronne d'épines. Serait-ce là le premier portrait de Jésus-Christ ? Voila une bien mystérieuse question que nous pose le quotidien anglais...

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Pour le moment et comme souvent dans ce genres d'affaires ou se mélangent, politiques, religions et sciences, les informations nous arrivent au compte gouttes et on ne risque pas de voir ces "reliques" prochainement dans un musée. Selon le département des antiquités (DoA), les tests au carbone détermineront bien vite l'authenticité des ouvrages métalliques scellés au plomb. Le directeur  du DoA, Ziad Saad, a déclaré au quotidien The Jordan Times, très enthousiaste : « Nous croyons vraiment obtenir les preuves de cette analyse et ainsi révéler l’authenticité des matériaux. » Les premiers essais effectués dans les laboratoires de la Royal Scientific Society, indiquent que les textes remontent au premier siècle de notre ère, à une époque où les chrétiens, persécutés, s’étaient réfugiés sur la rive est du Jourdain. Les Codex, qui ont été récupérés au marché noir  par les services de sécurité jordaniens, le mois dernier, sont remontés jusqu’à une cache où plus de 70 livres scellés au plomb dormaient. Les livres seraient arrivés en contrebande d’Israël par la rivière du Jourdain. La plupart des textes sont actuellement en la possession de Hassan Saeda, un fermier bédouin israéliens, qui prétend que les livres, content les derniers jours de Jésus Christ, ni plus ni moins, et qu’ils auraient été découvert par son grand-père, berger, il y a 90 ans.

Les autorités jordaniennes, cependant, croient plutôt que les codex ont été découvert il y a quatre ans dans une grotte près du village du Nord de Sarhan et seraient la propriété du Royaume hachémite. Ces textes ont fait les manchettes internationales en mars, lorsque les autorités jordaniennes et l’auteur britannique David Elkington ont annoncé leur existence dans le but de lancer une campagne de rapatriement des précieux livres. Les efforts de rapatriement des textes d'Israël sont pour l’heure en attente des résultats définitifs de la datation au carbone, actuellement en cours à l'Université du Nouveau Mexique, le Getty Conservation Institute et l'Université de Sheffield. L’extraordinaire découverte de ces 70 livres est évidemment une affaire à suivre. 

 James Fergusson pour WikiStrike (source : ufoetscience)

 

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