Agartha un accès au centre de notre terre !
On situe quelques entrées supposées du Royaume d'Agartha dans les endroits suivants :
Cueva de los Tayos
Cueva de los Tayos (en espagnol), la « Grotte des guacharo des cavernes », est une grotte naturelle située sur le versant oriental de la cordillère des Andes, dans la province de Morona-Santiago en Équateur. Elle est parfois appelée Cueva de los Tayos de Coangos (le Río Coangos se trouvant à proximité), vraisemblablement pour la distinguer des autres grottes à Guacharo des cavernes ayant des noms similaires. Située à une altitude d'environ 800 m au sein de fines couches de calcaire et de schiste, l'entrée principale de la Cueva de Los Tayos se trouve dans la forêt tropicale au fond d'une vallée aride. La plus importante des trois entrées est un puits profond de 65 mètres qui mène à 4,6 kilomètres de spacieux couloirs et une salle mesurant 90 mètres sur 240 mètres. La grotte s'étend sur une hauteur de 201 mètres, son point le plus bas finissant en un siphon. (source : wikipedia)
Carlo Crespi montrant un des trésors trouvés dans la grotte de los Tayos
Le Mont Bucegi
À l'été de 2003, dans une région inexplorée des monts Bucegi, Roumanie, une équipe du Département Zéro (une section de top secret du Service roumain de renseignements - SRI), a fait une découverte archéologique qui pourrait complètement changer le destin de l'humanité. voir plus de détails.
Kentucky Mommoth Cave, Kentucky sud-central, USA
La grotte avec de multiples orbes..
Le parc national de Mammoth Cave (Mammoth Cave National Park) est un parc national américain créé le 1er juillet 1941 et situé au centre de l'État du Kentucky. Il s'étend sur 214 km2 dans le bassin de la Green, à cheval sur les comtés d'Edmonson, de Hart et de Barren. Il comprend une partie du Mammoth Cave System (« Réseau de la grotte mammouth »), qui est le plus grand réseau souterrain au monde, avec près de 600 kilomètres explorés de galeries. L'origine du nom de la grotte, qui date du XVIIIe siècle, provient de sa taille importante et n'a pas de rapport avec l'animal préhistorique.
(source : wikipedia)
Chutes d'Iguazú
frontière entre le Brésil et l'Argentine
Les chutes d'Iguazú (en espagnol : cataratas del Iguazú), chutes d'Iguaçu (en portugais : cataratas do Iguaçu) ou encore chutes d'Iguassu,
situées au milieu de la forêt tropicale, à la frontière entre
l'Argentine (80 %) et le Brésil (20 %), sont une merveille naturelle
inscrite au patrimoine mondial par l'UNESCO en 1984. Le premier Européen
à la contempler est Álvar Núñez Cabeza de Vaca au XVIe siècle.
Des deux côtés des chutes, les gouvernements brésilien et argentin ont
créé des parcs nationaux, le parc national de l'Iguaçu au Brésil et le
parc national d'Iguazú en Argentine.
Mont Epomeo, Italie
Le mont Époméo (en italien : Monte Epomeo) est le plus haut sommet de l’île volcanique d’Ischia, dans le golfe de Naples, en Italie. On pense qu’Époméo est un horst volcanique.
Avec une altitude de 789 mètres, il domine toute l’île d’Ischia. La plus grande partie du mont est couverte de verdure, et quelques vignes occupent ses flancs. À environ 75 mètres du sommet, le mont est couvert de lave blanche.
Un chemin partant du petit village de Serrara Fontana mène au sommet du mont.
Montagnes de l'Himalaya, Tibet - l'entrée de la ville souterraine de Shonshe est gardée par des moines
Les Tibétains croient que la terre est gardée par des êtres dotés de super pouvoirs humains. Les observations de ces êtres leur sont normales. Les gens (en particulier les lamas tibétains) sont à la recherche de Shambhala depuis des siècles et l’ont trouvé, ceux qui cherchent le royaume ne reviennent souvent jamais, soit parce qu’ils ont trouvé le pays caché et sont restés là-bas, soit détruits.
Mongolie - Shingwa
la
ville souterraine de Shingwa existe sous la frontière entre la Mongolie
et la Chine, vestige de la migration nordique d'Uighurs,
Grande pyramide de Gizeh
Le Sphinx et les Pyramides ne sont que la partie visible d’un fabuleux iceberg. De nombreux témoignages historiques ou contemporains permettent d’être convaincus de la présence, sous le plateau de Gizeh et l’ancienne cité du Caire, d’un savant enchevêtrement de passages, conduits, salles, cavernes naturelles, lacs et d’une grande cité, renfermant des artefacts sophistiqués révélant un très haut niveau de technicité. L’information relayée par les médias jusqu»en 1935 est depuis soustraite au public par les autorités archéologiques.
Mont Shasta
Californie - la ville agarthéenne de Telos existe dans et sous cette montagne.
Dero’s Cave - lieu Atlante
Bugarach (Aude) France
Le Pic de Bugarach est le point culminant des Corbières avec 1231mètres. De nombreux témoignages (certains très anciens) font état d’apparations ou de lumières nocturnes s’ échappant ou entrant dans cette montagne. On parle d’ovnis, de lumières étranges, etc. Des satellites on détectent sous le Pic de Bugarach, d’étranges cavités ainsi qu’un immense dôme et on ignore toujours actuellement ce qui se trouvent à l’intérieur et aussi comment y accéder. Les avions survolant cette région on comme consigne de ne pas passer au dessus de cette zone, car tous les instruments se dérèglent sans aucune explication.
Pertuis Néanti (Dans la forêt de Brocéliande du roi Arthur) en Bretagne (France)
Sous la patte droite (par un escalier) du Sphinx de Gizeh
Des ouvriers réparant le Sphinx ailé ont découvert un ancien passage menant profondément dans le corps du monument mystérieux. Le Directeur des Antiquités de Gizeh, M. Zahi Hawass, établit que, sans doute possible, le tunnel était très ancien. Toutefois, ceci est inexplicable : qui construisit le passage ? Pourquoi ? Et où mène-t-il…? M. Hawass dit qu’il n’avait pas l’ intention d’enlever les pierres empêchant le passage. Le tunnel secret se creuse un chemin dans la face nord du Sphinx, à peu près à mi-chemin entre les pattes étendues du Sphinx et sa queue.
L’hypothèse
courante que le Sphinx est le vrai portail de la Grande Pyramide a
survécu avec une surprenante ténacité. Cette croyance fut alimentée par
des plans vieux de 100 ans élaborés par les initiés Francs-Maçons et
Rosicruciens, montrant que le Sphinx était l’ornement surmontant un
espace qui communiquait avec toutes les Pyramides par des passages
souterrains en étoile. Ces plans furent dressés à partir d’informations
découvertes à l’origine par le fondateur présumé de l’Ordre de la
Rose-Croix, Christian Rosenkreuz, qui, à ce que l’on prétend,
s’introduisit dans « une salle secrète au-dessous du sol » et y trouva
une bibliothèque d’ouvrages regorgeant de connaissances secrètes.
Les croquis furent tirés de l’information détenue par les archivistes de
l’Ecole des Mystères avant le début du désensablement en 1925. Ils
révélèrent des ouvertures secrètes menant à des salles de réception
oubliées depuis fort longtemps, de petits temples et autres enceintes.
(Ces plans sont inclus dans la section « Le Plan Principal » à la fin du
livre.)
En 1935, la connaissance des Écoles des Mystères fut
renforcée par une série de découvertes remarquables qui fournirent la
preuve de souterrains et de salles supplémentaires s’entrelaçant dans
l’espace sous-pyramidal. Le complexe de Gizeh présentait les éléments
majeurs d’une construction intentionnelle, d’une structure unitaire avec
le Sphinx, la Grande Pyramide et le Temple des hommes du Soleil reliés
directement les uns aux autres, en surface et en sous-sol.
Ces
quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement
radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans.
L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de
repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs.
Le nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de
déterminer avec précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés
sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont situés sur la rive est de Louxor,
les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour. Les clichés du
secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée
d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et
s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers
tout le plateau. Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les
égyptologues sont capables de déterminer l’emplacement d’un site
majeur, son entrée probable et la taille des salles avant de commencer
les fouilles. L’attention est attirée sur trois lieux secrets : un
endroit dans le désert à quelques centaines de mètres en direction de
l’ouest/sud-ouest de l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour
de laquelle on construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton,
haute de sept mètres et couvrant huit kilomètres carrés ; l’ancienne
grande route qui reliait le temple de Louxor à Carnac; et le « Chemin
d’Horus » à travers le nord Sinaï. (source : area51)
Le Journal de Bord de l’Amiral Richard E. Byrd
Vol d’exploration au-dessus du Pôle Nord (La Terre Intérieure, Mon Journal Secret)
15 août 2015
Je
dois écrire ce carnet de bord secrètement et dans l’ombre. Il concerne
mon vol arctique du 19 Février 1947. Il viendra le temps où la pensée
rationnelle des hommes deviendra insignifiante et que l’on devra
accepter l’inévitable Vérité.
Je ne suis pas libre d’assurer la
mise au jour de la documentation suivante qui fait l’objet de cet écrit,
peut-être ne verra-t-elle jamais la lumière de l’analyse publique, mais
je dois faire mon Devoir et l’enregistrer ici, pour tout un chacun,
afin qu’il puisse un jour en prendre connaissance dans un monde qui, je
l’espère profondément, ne laissera pas l’avidité et l’oppression abusive
d’une partie de l’humanité nous soustraire ce qui est Vrai plus
longtemps.
Note : Certains disent que le gouvernement
américain a envoyé Byrd au pôle nord à la recherche de preuves de la
rumeur d’une base allemande.
Les nazis étaient fascinés par
tout ce qui concerne la race aryenne. Ils ont parcouru le monde entier, y
compris l’Antarctique, pour en apprendre davantage sur les origines
présumées.
Les Allemands ont laissé leur marque au pôle Sud.
Cependant, ce qu’ils ont découvert ne se compare pas à ce que Byrd a
enregistré dans son journal.
Carnet de Vol : Camp de Base Arctique, 19 Février 1947
06h00
– Tous les préparatifs sont complètement faits pour un vol en direction
du Nord et nous décollons avec le plein de carburant à 0610 heures.
06h20
– Le carburant du moteur de tribord semble trop riche, on fait
l’ajustement et le « Pratt Whitneys » file doucement maintenant.
07h30 – Le contact radio est vérifié avec le camp de base. Tout est bien et la réception est normale.
07h40 – On note une légère fuite d’huile dans le moteur de tribord, l’indicateur de pression d’huile cependant semble normal.
08h00
– Une turbulence légère est notée dans la direction de l’Est à une
altitude de 2321 pieds, correction à 1700 pieds, aucune autre
turbulence, mais le vent d’arrière s’accroît , légers réglages de
contrôle, les performances de l’avion sont très bien maintenant.
0815 heures – Contact radio avec le camp de base, situation normale.
08h30 – Nouvelle turbulence. Augmente l’altitude à 2900 pieds ; conditions de vol normales de nouveau.
09h10
– Vaste étendue de glace et neige en dessous, notons la coloration de
nature jaunâtre qui se disperse linéairement. Modifions l’itinéraire
pour un meilleur examen de cette couleur en dessous, et notons une
couleur rougeâtre ou violette aussi. Nous exécutons deux tours au-dessus
de cette zone et nous reprenons l’itinéraire qu’indique la boussole.
Nouveau contact avec le camp de base et transmission des informations
relatives aux colorations de la glace et de la neige au sol.
09h13
– La boussole magnétique et le gyrocompas commençant à tourner et
bouger, nous sommes incapables de tenir notre route à l’aide des
instruments. Faisons le point avec le compas Solaire et tout semble
bien. Nous effectuons des contrôles particulièrement lents et paresseux,
mais il n’y a aucune présence de glace.
0915 heures – Au loin apparaît ce qui semble être des montagnes !
09h49
– Après 29 minutes de vol notre première impression se confirme : ce
sont bien des montagnes et pas une illusion. C’est une petite chaîne de
montagnes, que je n’ai jamais vue auparavant!
Carte du pôle Nord par Gérard Mercator « 1595 »…
09h55 – l’ Altitude change pour arriver à 2950 pieds, nous rencontrons de fortes turbulences à nouveau.
10h00
– Nous passons au-dessus de la petite chaîne de montagnes et nous
sommes toujours en direction du nord apparemment, au meilleur de notre
connaissance. Au-delà la chaîne de montagnes apparaît une vallée avec un
petit fleuve ou rivière se dirigeant vers le centre de la vallée. Il ne
devrait pas y avoir de vallée verte en dessous ! Quelque chose est
définitivement faux et anormal ici ! Nous ne devrions survoler que glace
et neige ! A bâbord, on voit de grands massifs forestiers le long des
pentes montagneuses. Nos instruments denavigation tournoient encore, le
gyroscope oscille d’arrière en avant !
10h05 – Je modifie
l’altitude jusqu’à 1400 pieds et j’exécute une boucle serrée vers la
gauche afin de mieux examiner la vallée en dessous. Elle est verte avec
soit de la mousse, ou soit une sorte d’herbe très dense. La Lumière
semble différente ici. Je ne peux plus voir le Soleil . Nous faisons une
autre boucle à gauche et nous repérons ce qui semble être une sorte de
grand animal en dessous de nous. On dirait un éléphant ! NON !!! Ça
ressemble à un mammouth ! C’est incroyable !! Cependant c’en est bien
un. Nous descendons jusqu’à 1000 pieds et prenons les jumelles pour
mieux examiner l’animal.
Nous confirmons définitivement que l’animal est bien un mammouth. Nous communiquons cela au camp de base.
10h30
– Nous rencontrons des collines mouvantes vertes maintenant. Le
thermomètre extérieur donne 74 degrés F (23,3 °C). Nous poursuivons la
route en avant. Les instruments de navigation semblent maintenant
normaux. Leurs mouvements m’intriguent. On essaye de contacter le camp
de base. La radio est muette.
11h30 – La campagne en dessous est
plus nivelée et normale (si je peux employer ce mot). En avant nous
percevons ce qui semble être une ville !!! C’est impossible ! L’avion
semble léger et bizarrement flottant. Les contrôles refusent de
fonctionner !! Mon DIEU !!! Hors bâbord et à tribord apparaît un étrange
type d’avion. Ils approchent rapidement le long de nos côtés. Ils sont
en forme de disques et ils sont resplendissants. Ils sont assez proches
maintenant pour que nous puissions voir leurs inscriptions. C’est une
sorte de Svastika !!! C’est fantastique. Où sommes-nous ! Que nous
arrive-t-il ? Je tire de nouveau fortement sur les contrôles. Ils ne
répondent pas !!! Nous sommes pris dans un invisible étau d’un certain
type !
Trajectoire d’une société Satellitaires Aucunes ne passe au dessus du pôle Géographique
11h35
– Notre radio se met à crépiter et une voix anglaise en sort avec ce
qui pourrait être peut-être un léger accent nordique ou germanique ! Le
message est : « Bienvenu, Amiral, dans notre domaine. Nous vous ferons
atterrir dans exactement sept minutes ! Détendez-vous, Amiral, vous êtes
dans de bonnes mains ». Je note que les moteurs de notre avion ont
stoppé ! L’avion est sous un étrange contrôle et vire maintenant tout
seul. Les contrôles sont inopérants.
11h40 – Nous recevons un
autre message radio. Nous commençons le procédé d’atterrissage
maintenant et presqu’aussitôt l’avion frémit légèrement et commence une
descente comme attrapé par quelque grand ascenseur invisible ! Le
mouvement en descente est imperceptible et nous touchons terre en
éprouvant seulement une secousse légère !
11h45 – J’enregistre
rapidement une dernière note dans le carnet de bord. Plusieurs hommes
approchent à pied de notre avion. Ils sont grands avec la chevelure
blonde. A une certaine distance on aperçoit une grande cité scintillante
en jets colorés d’arc-en-ciel. Je ne sais pas ce qui va arriver
maintenant, mais je ne vois aucune arme sur ceux qui approchent.
J’entends maintenant une voix me commandant personnellement d’ouvrir la
porte de la cale de l’avion. J’obtempère.
FIN DU JOURNAL DE BORD
A
partir de maintenant, j’écris ici tous les événements qui suivent de
mémoire. Cela défie l’imagination et passerait pour de la folie si
n’était pas arrivé vraiment. L’opérateur radio et moi sortons de notre
appareil et sommes reçus de la plus cordiale manière. Nous montons alors
sur une petite plate-forme mobile de transport sans roues ! Elle nous
amène vers la ville scintillante avec une grande rapidité. Comme nous
approchons, la ville semble être faite en matière cristalline. Bientôt
nous arrivons à un grand bâtiment qui est d’un type que je n’ai jamais
vu avant. Il paraît être tiré directement des croquis de Franc Lloyd
Wright, ou peut-être mieux encore d’un film de Buck Rogers. On nous
offre un certain type de breuvage chaud qui a un goût qui ne ressemble à
rien de ce que j’ai connu auparavant.
C’est délicieux. Après
environ dix minutes, deux de nos merveilleux hôtes viennent nous
rejoindre et nous annoncent que je dois les accompagner. Je n’ai pas
d’autres choix que de m’exécuter. Je quitte mon opérateur radio et nous
marchons une courte distance puis pénétrons dans ce qui semble être un
ascenseur.
Nous descendons pendant quelque temps, la machine
s’arrête, et la porte de l’ascenseur glisse silencieusement vers le haut
! Puis nous suivons un long couloir éclairé par une lumière rose qui
semble émaner des murs eux-mêmes !
Un des êtres nous fait signe
de nous arrêter devant une grande porte. Au-dessus de la porte se trouve
une inscription que je ne peux pas lire. La grande porte glisse en
s’ouvrant sans bruit et on me fait signe d’entrer.
Un de mes
hôtes parle.« N’ayez aucune crainte, Amiral, vous allez avoir une
audience avec le Maître… » Je marche à l’intérieur et mes yeux
s’ajustent à la belle coloration qui semble remplir la pièce
complètement. Alors je commence à voir les alentours.
Ce
qu’accueillent mes yeux est le plus beau spectacle de mon existence
entière. C’est même, en fait, trop beau et merveilleux pour être décrit.
C’est
exquis et délicat. Je ne pense pas qu’il existe un terme humain qui
puisse le décrire en toute justice dans tous ses détails. Mes pensées
sont interrompues d’une façon cordiale par une chaleureuse voix riche et
mélodieuse.
« Je vous souhaite la bienvenue dans notre domaine,
Amiral ». Je vois un homme avec des traits délicats et avec la marque
des années sur son visage.
Il est assis à une table longue. Il
m’invite à m’asseoir sur une des chaises. Dès que je me suis assis, il
place le bout de ses doigts ensemble et il sourit. Il parle doucement de
nouveau, et me transmet ce qui suit :
« Nous vous avons permis
d’entrer ici parce que vous êtes de caractère noble et connu du Monde de
la Surface, Amiral ». Le Monde de la Surface, j’en eu à moitié le
souffle coupé ! « Oui », fut la réponse du Maître en souriant, « Vous
êtes dans le domaine des Arianni, le Monde Intérieur de la Terre. Nous
ne retarderons pas longtemps votre mission et vous serez escorté en
sécurité à la surface et au-delà sur une certaine distance.
Représentation du monde intérieur
Mais
maintenant, Amiral, je vais vous dire pourquoi vous avez été convoqué
ici. Notre intérêt commence avec raison immédiatement après que votre
race ait fait exploser les premières bombes atomiques sur Hiroshima et
Nagasaki au Japon.
C’est à ce moment alarmant que nous avons
envoyé nos machines volantes, les « Flugelrads, » sur votre monde de
surface afin d’étudier ce que votre race avait fait. C’est, bien sûr, de
l’histoire ancienne maintenant, mon cher Amiral, mais je dois
poursuivre.
Vous voyez, nous n’avons jamais interféré auparavant
dans les guerres et barbaries de votre race, mais maintenant nous le
devons car vous avez appris à falsifier un certain pouvoir qui n’est pas
pour l’homme, à savoir l’énergie atomique.
Nos émissaires ont
déjà livré des messages aux puissances de votre monde, et cependant
elles n’en tiennent pas compte. Maintenant vous avez été choisi pour
attester que notre monde existe.
Vous voyez Amiral, notre Culture et notre Science sont en avance de plusieurs milliers d’années sur celles de votre race ».
Représentation de Shambhala la cité mythique du monde intérieur
Je
l’interrompis, « Mais qu’ai-je à voir avec tout cela, Monsieur ? » Les
yeux du Maître semblèrent pénétrer profondément mon esprit et après
m’avoir analysé pendant un moment il répondit, « Votre race a maintenant
atteint le point de non retour, car il y a ceux parmi vous qui seraient
prêts à détruire votre propre monde plutôt que d’abandonner leur
prétendu pouvoir ».
J’acquiesçai, et le Maître continua. « En
1945 et par la suite, nous avons essayé de contacter votre race, mais
nos efforts n’ont rencontré qu’hostilité et nos Flugelrads furent
mitraillés. Oui, et même poursuivis avec malice et animosité par vos
avions de combat.
Aussi, maintenant je vous le dis mon fils, il y
a un grand orage se concentrant sur votre monde, une fureur noire qui
ne s’épuisera pas pendant de nombreuses années. Il n’y aura aucune
possibilité de réponse de la part de vos armées, il n’y aura aucune
protection de la part de votre science.
Cette fureur fera
possiblement rage jusqu’à ce que chaque fleur de votre culture soit
piétinée, et que toutes choses humaines soient plongées dans un vaste
chaos. Votre récente guerre n’était seulement qu’un prélude à ce qui
doit encore advenir à votre race. Nous ici voyons cela plus clairement
d’heure en heure… pensez-vous que je me trompe ? »
« Non »,
répondis-je, « c’est arrivé déjà autrefois que ces sombres périodes
viennent et subsistent pendant plus de cinq cent années ». « Oui, mon
fils, » répondit le Maître, « les périodes sombres qui viendront
maintenant pour votre race couvriront la Terre comme un drap mortuaire,
mais je crois qu’une certaine partie de votre race traversera cet orage,
après cela, je ne peux pas dire.
Nous voyons, dans un avenir
très loin, un nouveau monde renaissant des ruines de votre race,
cherchant ses trésors perdus et légendaires et qui seront ici, mon fils,
grâce à notre sauvegarde.
Quand ce temps arrivera, nous
viendrons à nouveau aider votre culture et votre race à revivre.
Peut-être, d’ici là, aurez-vous appris la futilité de la guerre et de
ses conflits… et après ce temps, une partie de votre culture et de votre
science vous sera rendue afin que votre race recommence à nouveau.
Vous, mon fils, devez retrouver le Monde de la Surface pour lui confier
ce message… »
Avec ces derniers mots, notre réunion sembla
arriver à son terme. Je restai un moment comme dans un rêve… mais,
pourtant, je savais que tout cela était la réalité et pour une raison
étrange, je m’inclinai légèrement, soit par respect ou soit par
humilité, je ne saurais le dire…
Soudainement, je pris conscience
que les deux hôtes magnifiques qui m’avaient amené ici se tenaient de
nouveau à mon côté. « Par ici, Amiral, » m’indiqua l’un d’eux. Je me
retournai une fois de plus avant de partir et regardai en arrière vers
le Maître.
Un sourire doux était gravé sur son visage ancien et
délicat. « Adieu, mon fils, » dit-il, puis de sa très belle main fine,
il fit un geste de paix et notre réunion fut véritablement terminée.
Rapidement, on me raccompagna jusqu’à la grande porte d’entrée de
l’appartement du Maître et une fois de plus nous pénétrâmes dans
l’ascenseur.
La porte glissa silencieusement vers le bas et nous
fûmes transportés immédiatement vers le haut. Un de mes hôtes parla de
nouveau, « Nous devons maintenant faire vite, Amiral, car le Maître ne
voudrait pas vous retarder plus longtemps dans votre emploi du temps et
vous devez retourner porter son message à votre peuple ». Je ne dis
rien. Tout cela était presque incroyable, et une fois de plus mes
pensées furent interrompues quand nous nous arrêtâmes.
J’entrai
dans la pièce et retrouvai mon opérateur-radio. Il avait une expression
anxieuse sur son visage. Comme j’approchais je lui dis, « Tout va bien,
Howie, tout va bien ». Les deux êtres nous dirigèrent vers le véhicule
de transfert qui nous attendait ; nous y montâmes et arrivâmes
rapidement à notre avion.
Les moteurs tournaient au ralenti et
nous nous embarquâmes aussitôt. La situation semblait chargée d’un
certain caractère d’urgence. Dès que la porte de la cale fut fermée
l’avion fut immédiatement soulevé par cette force invisible jusqu’à ce
que nous atteignîmes une altitude de 2700 pieds.
Deux appareils
nous escortèrent sur une certaine distance, nous guidant sur notre
chemin de retour. Je dois déclarer ici que notre indicateur de vitesse
n’enregistra aucune information, bien que nous nous déplacions à une
allure très rapide.
NOUVELLES ENTRÉES DANS LE JOURNAL DE BORD
2h15 – Arrive alors un message radio. « Nous vous quittons maintenant Amiral, vos appareils de contrôles sont libérés. Auf Wiedersehen (au revoir en allemand) !!! » Nous restons un moment à regarder les flugelrads disparaître dans le ciel bleu pâle. L’avion soudainement plonge comme s’il était pris dans un étroit trou d’air pendant un moment. Nous réussissons rapidement à reprendre le contrôle. Nous ne parlons pas pendant un certain temps, chacun plongé dans ses pensées.
2h20 – Nous retrouvons à nouveau de vastes superficies de glace et neige, et sommes approximativement à 27 minutes du camp de base. Nous les appelons, ils répondent. Nous rapportons que toutes les conditions sont normales… normales. Le camp de base exprime son soulagement pour le rétablissement du contact.
3h00 – Nous atterrissons doucement au camp de base. J’ai une mission…
FIN DES ENTRÉES DU JOURNAL DE BORD
Le
11 Mars 1947. Je viens d’assister à une réunion du personnel au
Pentagone. J’ai fait une déclaration complète de ma découverte et
transmis le message du Maître.
Tout a été dûment enregistré. Le
Président a été averti. Je suis maintenant retenu pour plusieurs heures
(six heures trente-neuf minutes pour être exact).
Je suis
interviewé spécifiquement par les Plus Hautes Autorités des Forces de
Sécurité et une équipe médicale. Toute une épreuve !!! Je suis placé
sous strict contrôle via les dispositions de Sécurité Nationale de ces
États-Unis d’Amérique.
ON M‘ORDONNE DE RESTER SILENCIEUX AU SUJET DE TOUT
l’Amiral Richard E. Byrd
CE QUE J’AI APPRIS, AU NOM DE l’HUMANITÉ ; Incroyable ! On me rappelle que je suis un militaire et que je dois obéir aux ordres.
Le
30/12/1956 : ENTRÉE FINALE : Ces quelques dernières années qui se sont
écoulées depuis 1947 n’ont pas été faciles… J’inscris maintenant ma note
finale dans cet étrange carnet de vol. En le fermant, je dois dire que
j’ai fidèlement gardé toutes ces années cette affaire secrète, comme il
m’a été ordonné.
Ce fut complètement à l’encontre de mes
convictions de droit moral. Maintenant, je sens venir sur moi la longue
nuit et ce secret ne mourra pas avec moi, mais tout comme la vérité, il
triomphera et ainsi en sera-t-il.
Ceci peut être le seul espoir
pour l’humanité. J’ai vu la vérité et cela a stimulé mon esprit et m’a
libéré ! J’ai fait mon devoir envers le monstrueux complexe industriel
militaire. Maintenant la longue nuit commence à approcher, mais il ne
doit pas y avoir de fin. Tout comme la longue nuit de l’Arctique se
termine, le brillant soleil de la Vérité viendra de nouveau… et les
puissances des ténèbres tomberont sous sa Lumière…
CAR J’AI VU CETTE TERRE AU-DELÀ DU PÔLE, CE CENTRE DU GRAND INCONNU.
Admiral Richard E. Byrd
United States Navy 24 December 1956 (source : lesavoirperdudesanciens)