Comment rencontrer des élémentaux ?
Petits pas vers les esprits de la nature...
(La plupart des photos sont prises sur l'eau d'une rivière)
Appelés
les esprits de la nature, les esprits de l’air (elfes, sylphes, fées de
l’air…), les esprits de l’eau (ondins, ondines, vouivres, fées de
l’eau…), les esprits du feu (salamandres, fées du feu…) et les esprits
de la terre (gnomes, korrigans, lutins, faunes, fées de la terre…) sont
les élémentaux qui évoluent sur une bande fréquentielle très proche de
la nôtre.
L’approche exogène, par la mesure du biochamp dans les
pratiques de géobiologie, aiderait beaucoup de gens à ressentir et à
communiquer avec les esprits de la nature. Les lieux hautement
énergétiques seraient davantage propices à des rencontres rapprochées.
Je
me suis ouvert à la réalité des esprits de la forêt par l’entremise de
mes compagnons cristallins. Ils m’ont guidé pas à pas dans certains
boisés pour rejoindre des lieux qui semblaient anodins au premier
regard. Ces lieux renferment une énergie inattendue et présentent des
configurations de la végétation hors normes bien qu’elles échappent
aisément à tout œil non attentif. C’est l’approche endogène qui
caractérise ma relation avec les esprits de la nature. La reliance se
fait avant tout de l’intérieur par leurs voix qui résonnent en moi en
passant par le portail du Cœur.
Petit lutin !
La photo d'origine avec le lutin en haut à droite.
Les
deux approches, exogène et endogène, ne s’opposent nullement mais se
complètent. C’est après avoir répondu à leurs appels intérieurs et
m’être rendu dans les lieux indiqués, qu’il me fut possible d’utiliser
mes mains afin de sentir des contacts énergétiques. Mes sens ont été
sollicités pour les détecter, pour « voir » leurs jeux.
Mais leur
cadeau le plus précieux fut de me faire comprendre que nous étions
aussi des êtres élémentaux. L’homme est constitué d’Eau, d’Air, de Feu
et de Terre. Ces quatre éléments sont en nous et en profond
déséquilibres. Les quatre éléments appellent à être réharmonisés en
chacun de nous.
Personnage ou animal ?
Les
élémentaux sont au service des quatre éléments. Ils effectuent un
travail immense pour perpétuer l’équilibre de ceux-ci à l’extérieur de
nous. Bien que nous les ayons chassés de nous, ils s’échinent à
poursuivre leur rôle fondamental au sein de la nature. Ils sont
essentiels dans la perpétuation du cycle de la vie végétale et in fine
de la vie animale et de la vie humaine. Ils cadencent les saisons et
amoindrissent nos perpétuelles attaques contre la nature.
Les
esprits de la nature sont profondément blessés pour les nombreux
sacrilèges et destructions à leur encontre, à l’encontre des quatre
éléments à l’extérieur de nous, à l’encontre des quatre éléments à
l’intérieur de nous.
Les êtres élémentaires attendent une
profonde et sincère repentance de chacun, pour les actes et les pensées
dans cette vie et dans nos vies passées. Lorsqu’ils ressentent que cette
demande de pardon vient viscéralement du cœur, et non pas de la
périphérie de notre être, le mental, ils se mettent à notre disposition
pour participer à notre grand rééquilibrage intérieur. Ils vont agir en
nous afin de réinitialiser nos quatre éléments afin d’aligner notre être
sur notre âme et non plus laisser notre égo se repaître de nos failles.
Crâne allongé
Comme les momies de Nazca ou d’Égypte
La photo originale en dessous
Le
processus de guérison intérieure est très complexe et multiple. Les
élémentaux sont essentiels à ce travail de guérison et de restauration
de notre corps physique et de nos corps subtils. Les élémentaux
disposent d’un pouvoir de guérison de nos centres énergétiques. Ils
peuvent s’ancrer en nous. Mon expérience d’adombrement par une vouivre
fut l’une des plus marquantes qui me fut donnée de vivre. Cette vouivre
est allée au tréfonds de mon être pour délier un nœud énergétique qui
obturait l’une des voies vers mon être véritable.
Les êtres de la nature vont toucher notre âme et rouvrir des portails intérieurs vers elle.
Les
esprits de la nature attendent que notre alliance initiale soit
restaurée, afin de manifester nos plus belles créations comme cela était
établi à l’origine dans le plan divin. Cela se fait étape par étape. Il
m’est demandé par mes guides d’aller au contact des esprits de la forêt
le plus souvent possible et de m’exercer à développer une démarche
emprunte de respect. Celle-ci demande encore à s’affiner. Mon approche
se résume en onze petits pas :
Personnage de profil fait de branches sur fond de neige
1. Appeler intérieurement une rencontre
Une
rencontre avec les êtres de la nature se prépare, pour moi, plusieurs
jours à l’avance. En mon fort intérieur, j’émets le souhait de
rencontrer des fées ou encore des vouivres, des gnomes, des elfes. Je
projette sur cette pensée une émotion de joie. Lorsque mon esprit se
porte sur une invitation, je sais où et quand je vais me rendre dans un
milieu naturel afin de donner rendez-vous aux esprits de la nature. Je
suis déjà dans la gratitude que mon appel sera entendu.
2. Se libérer de l’agitation du mental
C’est
important de ne pas arriver auprès d’eux avec son brouillard mental. Je
marche souvent une bonne vingtaine de minutes avant de me rendre à
l’endroit de mon invitation. Je prends ce temps pour chasser mes pensées
et me vider des préoccupations quotidiennes. Cela agit pour moi comme
un sas de décompression et de changement d’état d’esprit. J’essaye
simplement d’observer autour de moi en ne pensant à aucun problème de la
journée. C’est l’un de mes exercices de pratique de l’instant présent.
Le lutin qui tient l'arbre
3. Saluer les présences invisibles hors du royaume de l’homme
En
arrivant à l’orée du boisé, du parc ou de la prairie, je m’écarte du
chemin pour me mettre sur le bas-côté. Là, je les salue intérieurement.
Je ne suis plus dans le monde des hommes (le chemin) mais dans le leur
(à droite ou à gauche du chemin). Je suis au point de rendez-vous
proposé intérieurement plusieurs jours à l’avance. À partir de ce point,
je leur demande de me guider là où ils l’entendent. Je suis dorénavant
leur invité s’ils le désirent.
4. Être dans l’observation et l’émerveillement
Je
progresse simplement en étant attentif à ce qui m’entoure. J’essaye de
retrouver mon regard d’enfant, celui du ravissement sans être béat.
Sentir et voir les petits détails, ceux-là même que l’on ignore si on
fait une balade avec un ami avec lequel on parlerait de tout et de rien.
Les êtres invisibles de la nature nous surveillent dès nos premiers
pas.
Dans une cheminée, un étrange visage !
5. Faire appel à son intuition et à sa petite voix intérieure
Je
demande intérieurement d’être guidé, droite ou gauche, je m’arrête ou
je continue etc. J’essaye de me laisser guider par mon intuition pour
bifurquer et avancer au gré des suggestions de ma petite voix
intérieure. Elle est le support par lequel les esprits de la nature et
tous mes guides communiquent avec moi. Si un arbre attire mon regard, je
vais le saluer peu importe que cet arbre ne représente rien pour une
autre personne qui viendrait avec moi. Si une feuille s’agite
frénétiquement toute seule, alors que les autres environnantes restent
immobiles, je prends le temps d’observer ce « jeu ».
6. Faire preuve de respect en tout temps
Je
ressens lorsque je suis arrivé à destination. Je me garde de pénétrer
dans certains espaces du lieu vers lequel je me suis senti conduit. Je
prends le temps d’observer le lieu et plus précisément le périmètre dans
lequel je peux évoluer et celui dans lequel je ne dois pas entrer.
L’humilité et la sagesse sont de mise. Je suis particulièrement
précautionneux sur ce point.
Dans un ciel orageux !
7. Faire une offrande aux esprits de la nature
J’identifie
l’autel sur lequel je vais déposer mon offrande. Cette offrande, je
l’ai choisie avec soin. Cela peut être une tomate cueillie dans mon
jardin ou le plus beau fruit acheté au supermarché (sans pesticide). Je
choisis ce que j’aimerai que l’on m’offre. J’affectionne le miel comme
offrande. Je ramasse une belle feuille, et non pas cueillir une feuille,
pour y laisser couler du miel. Pendant quelques instants, je tiens au
creux de mes mains mon offrande pour la charger de belles pensées, avant
de la déposer sur l’autel. Je me mets en retrait pour laisser
s’approcher les esprits de la nature.
Un ami m’apprit à faire aussi des offrandes pour le règne animal qui est intrinsèquement indissociable du règne élémental.
Curieuse forme jaune !
8. Identifier et saluer le gardien ou le chef de la communauté
J’essaye
d’identifier le gardien du lieu où le chef des êtres de la nature qui
régit l’assemblée présente. Je prends le temps de me recueillir devant
lui et de le remercier de son hospitalité.
Dans les racines d'un arbre !
9. Accueillir ce qui nous est proposé
Cela
me demande d’être dans le renoncement des attentes. J’observe, je me
recueille, je ris ou je pleure parfois, je me laisse aller aux émotions
qui viennent. J’écoute leurs messages et je leur pose mes questions.
10. Offrir une réparation
Je
leur demande souvent pardon pour mes errances dans cette vie et dans
mes vies antérieures à leur encontre. Je m’attache à parler de mes actes
et non pas ceux de l’humanité. Une rencontre avec les êtres de la
nature, ce sont eux vis-à-vis de soi, afin de ne pas se défausser sous
couvert d’une responsabilité collective. Je prends souvent un sac avec
moi pour collecter les déchets de la société humaine qui souillent les
lieux. Contribuer à nettoyer le lieu est pour moi une autre forme de
réparation à leur endroit.
11. Remercier les esprits de la nature
C’est
important de remercier pour l’instant passé en leur compagnie. Le
respect doit rester présent tout au long du chemin de retour. Les
esprits de la nature et autres esprits de la forêt sont susceptibles de
nous accompagner longtemps après notre visite.
Un rocher énigmatique !
Une fée de la nature se révèle...
Les
êtres de la nature attendent qu’on les réintègre certes dans notre
cœur. Ils désirent, au préalable, qu’on reconnaisse tout le mal qu’on
leur a fait. Ils ne veulent pas de « je m’excuse au nom de tous les
hommes ». Ils attendirent que MOI je me positionne dans mon acceptation
du mal que je leur ai fait. Mes guides me demandèrent de dire quelque
chose comme « Je m’excuse de tout le mal que je vous ai fait dans cette
vie et dans mes autres vies » avec sincérité, humilité, avec la
vibration du cœur et non pas celle de mon mental. J’ai mis du temps à le
faire avec la bonne intention du cœur. Des mois. Demander pardon n’est
pas évident mais cela déverrouille assurément la porte qui nous sépare
de leur monde. (source : leretourdesdragons)
D'autres photos prises sur l'eau
et un joli cœur de tomate !