Le Fantôme de l’Évêque
Le
frisson de l'étrange flotte en Périgord... car la paisible campagne est
aussi une terre de mystères ! France 3 Périgord vous propose de
découvrir énigmes, fantômes et miracles qui se cachent dans les
campagnes de la Dordogne.
Le Château de Château l’Évêque serait sous l'influence du meurtre d'un évêque dont l'esprit hanterait encore les lieux...
Le
Château de Château l’Évêque a été le théâtre d’un meurtre violent :
celui de Pierre Fournier, évêque de Périgueux, tué par ses domestiques
dans l’escalier du donjon. Aujourd’hui, il se raconte que son fantôme
hanterait encore la forteresse. Le meurtre d'un évêque, assassiné par
les gens de maison, aurait-il laissé des traces... fantomatiques ?
En tout cas, la médium venue visiter les lieux en est convaincue !
La Fontaine miraculeuse contre les peurs
A
Javerlhac-et-la-Chapelle-Saint-Robert, une fontaine au milieu des prés
aurait des vertus miraculeuses. Dédiée à Sainte-Marguerite, elle est
encore sollicitée aujourd’hui. Mais l’histoire raconte que cette source
n’a pas toujours été bienfaisante… notamment à l’égard de ceux qui ont
voulu s’en prendre à elle. Elle serait souveraine contre le rachitisme,
les rhumatisme ou encore la peur... cette petite source, toute discrète,
ne manque ni de discrétion ni de vertu si l'on en croit les habitants
des lieux.
Une villageoise à la grande beauté, un seigneur qui revendique son droit de cuissage et qui se fait occire, un village banni, une cloche qui se perd... mais qui se ferait encore entendre...
(photo : lafermedevillars)
À côté de quelques communes de Touraine, pays des troglodytes-rois, le village de Sorges, outre ses bories, affiche un record sans rapport avec sa vieille réputation truffière. Avec 33 souterrains, il fait figure de « paradis des cluzeaux », ces refuges de pierre du monde rural médiéval si troublé.
Cette richesse en forteresses souterraines vient d’être illustrée par une intervention de Serge Avrilleau, « pape de la subterranologie » (la science des souterrains), qui a longtemps prospecté la Dordogne – il habitait Léguillac-de-l’Auche – avant de gagner Marmande.
Mais il a également souligné que ces cluzeaux ont été pour la plupart obstrués délibérément, « sans doute par l’Inquisition poursuivant les Cathares, suite à l’édit de Raymond VII, en 1233. » Ironie du sort : « Le souterrain des Chabannes, le seul à avoir été fouillé, a été recouvert des gravats du chantier d’arasement d’une bosse routière ! » Il possédait trois fosses ovoïdes. Silos à grains ou lieu de dépôt d’éventuelles offrandes pour des cultes souterrains, d’autres fosses se retrouvent dans l’un des souterrains de La Pelletenie, localisé près d’un dolmen. On en trouve encore dans ceux de Veynas, de Bournaud (deux silos donnant à la surface) et de Penot, avec là des marques de comptage correspondant peut-être à des mesures de grains.
Serge Avrilleau a signalé aussi le souterrain-refuge de Laudinie avec sa très rare oubliette ; ou encore les grottes naturelles aménagées à Montchâteau et La Chevalerie.
Des secrets dorment-ils donc dans le sous-sol sorgeais ? Serge Avrilleau, qui a recensé quelque 1 600 cluzeaux en Périgord, rappelle « la thèse chthonienne selon laquelle l’esprit des morts attend sous terre la période favorable à son ascension ». Mais il souligne surtout le caractère défensif de ces cluzeaux qui ont tissé un étonnant et solide réseau à travers la Dordogne.
(source : A. B. sudouest)
Des OVNI au-dessus de la Dordogne
Une vidéo, réalisée le 4 juillet 2019, dans le département de la Dordogne, agite la planète ufologique. On y distingue quatre entités émettant des lumières sporadiques. Aucune explication n'a été fournie pour le moment.
Comme à chaque apparition d'une nouvelle vidéo d'OVNI sur Internet, il convient de demeurer prudent face à la dernière en date. Néanmoins, en l'état, avant toute analyse approfondie, il faut reconnaître que les images sont impressionnantes.
On peut distinguer à l'horizon pas moins de quatre appareils survolant un massif forestier et émettant des signaux lumineux par intermittence. La qualité des images ne permet pas de distinguer s'il s'agit d'appareils usuels (ballons météos, drones) ou d'engins plus mystérieux.
Le quotidien Sud-Ouest a contacté le GEIPAN (Groupe d'études et d'information sur les phénomènes aérospatiaux non-expliqués) qui dépend du CNES (Centre national d'études spatiales), mais sans obtenir de retour pour le moment. Un appel à témoins a été lancé par le journal. (source : cnews)